Pour changer un peu de ma logorrhée habituelle, voici des images en rafale. Mes amis Facebook les ont toutes vues, mais bon. Z’auront qu’à ne pas regarder. Pas tous les jours que j’ai une connexion comme celle-là, j’en profite.
Ici, prises à Lima pendant la Semaine sainte.
Dans une église de Lima, un peu avant le dimanche de Pâques. Les statues sont voilées en attendant la Résurrection.
Une madone parée comme une reine à qui les dévots viennent baiser la main. Il y a toujours une dame à côté, coiffée d’une mantille noire, qui essuie la main avec un petit mouchoir avant chaque baiser. Beurk quand même.
Même Jésus a l’air épouvanté.
Pendant ce temps, dans les rues de Lima…
… et dans les collines qui enserrent la ville, la pauvreté absolue.
Frappez et on vous ouvrira (peut-être).
Et ici, pendant mes petites vacances à Huanchaco
À Chan Chan, ruines d’une cité pré-inca immense.
Ce qui a été mis au jour doit être protégé des intempéries puisque tout est en adobe.
Dans la petite ville d’à côté, il subsiste quelques petites maisons de bois comme celles qu’on peut voir dans les Antilles.
Je croyais que la tradition des caballitos de totora (littéralement: petits chevaux de roseaux) était morte, mais non. On pêche encore comme ça à Huanchaco. Mais pour combien de temps encore?
Il m’a dit son nom, mais la journaliste n’avait pas son carnet…
Bref, il répare ses filets.
Droit devant, le Pacifique (glacial).
La totora prête à l’assemblage.
Huacos de la Luna, près de Huanchaco, une vraie splendeur.
On n’a mis au jour qu’une toute petite partie de ce complexe religieux. De l’autre côté, Huacos del Sol, on est encore à faire des fouilles. Entre les deux s’étendent les traces d’une immense cité.
Les dessins me rappellent parfois ceux des Haidas de Colombie-Britannique…
Me semble que je ferais un tissu avec ça…
Ça, c’est quand mon nouvel ami Antonio est venu me voir.
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Et enfin quand ma coordonnatrice, Sarah, est venue de Lima avec Milène, qui, elle, travaille au siège de SUCO, à Montréal. On est allées faire un tour à la laguna Parón. J’ai tellement parlé (pas si souvent que j’ai l’occasion de me lâcher lousse dans ma langue, disons), je pense que j’ai accentué leur mal des hauteurs.
Je vous demande pardon, les filles.
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Très appréciées ces photos. En les regardant on a l’impression de comprendre ce qui peut vous motiver à faire ce que vous faites.
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